Le château de La Garrigue
Quelques données générales
À quelques encablures de la place de Magnanac , sur la commune de Villemur-sur-Tarn,en bordure du chemin de Pellausy direction Le Terme, vous ne pouvez manquer la belle bâtisse du château de La Garrigue.
L’éthymologie de La Garrigue provient du chêne (en occitan lou cassé ou lou garric ). De nos jours on trouve encore de très beaux spécimens de ces arbres dans le parc du château.
Au niveau de la localisation géologique, le domaine de La Garrigue est implanté sur la basse terrasse du Tarn. En effet, la plus haute terrasse dela rivière – ou du moins ce qu’il en reste – ce sont les hauteurs de Vacquiers et de Montjoire ; la terrasse moyenne s’étend du bas de Vacquiers à Raygades ( La Bourdette Clos Mignon, Boujoulis, Entourettes, Raygades, Coume de Moundol) . Les basses terrasses s’étalent à partir de Raygades, et les villages de La Magdeleine, Villematier, Sayrac, Magnanac, Le Terme ont été implantés juste à la limite de cette troisième terrasse. Au-delà, et jusqu’à la rivière, nous avons la basse plaine du Tarn ( du bas du lieu-dit Pechnauquié jusqu’à la rivière).
La Garrigue relève de la section administrative et de la paroisse de Magnanac. Cette dernière à une superficie importante, environ 10 km² allant des rives du Tarn de la limite de la paroisse de Villaudric d’un côté, à celle du Terme de l’autre. Si l’on exclue le village proprement dit, l’habitat est très dispersé. A noter que plusieurs châteaux ou maison bourgeoises se sont implantées dans le territoire du village ; outre La Garrigue, on peut citer Brucelles (autrefois famille de Vacquié) Pharamond (Emile Sabatier) et Saint-Maurice ( familles de Pouzols et de Naurois).
Historique du château sous l’Ancien Régime
Les origines
Il faut remonter très loin dans le passé pour retrouver les premières traces de La Garrigue. Le registre de mutation des biens (muancier tome III de la gâche Notre-Dame 1674-1690) fait état d’une transaction entre Pierre Brucelles, avocat, et Pierre Malpel , marchand, tous deux de Villemur.
Le bien consiste en “bâtiment, pattu, partie de jardin” et diverses pièces de terre sises en plusieurs terroirs cités “Sagel”, “La Garrigue” sur la paroisse de Magnanac, et autres terres sur la paroisse du Terme. Pierre Malpel en est devenu propriétaire le 21 octobre 1676.
Parmi la descendance de Pierre Malpel et Marie Guilhemot se dégagera quelques générations plus tard, deux branches de la famille, les Malpel de Latour et les Malpel du Sagel.
Les Malpel-Viguier
Les terres acquises par Pierre Malpel en 1676 vont alors rester plusieurs siècles dans la famille, pour revenir finalement à Frédéric Malpel. Né à Villemur en 1765,(1) c’est à Toulouse qu’il exerce sa profession d’avocat, et qu’il sera plus tard, professeur de droit. Il n’a pas pour autant perdu ses racines villemuriennes puis qu’il en est le maire entre 1800 et 1802, et qu’il y épouse le 9 avril 1801 (2) Anne Marie Antoinette Catherine Viguier , fille de Pierre Viguier avocat au Parlement de Toulouse. Les Viguier sont une famille aisée et possèdent une maison à Villemur, rue Cambon, l’actuelle rue du colonel Cailhassou, où résidaient nombre de notables de la ville.
Sur le plan cadastral napoléonien de 1812 (3), on peut voir que La Garrigue est une petite parcelle, et son habitation certainement une ferme, que Frédéric Malpel va faire prospérer et embellir et qu’il est en fait le “constructeur” du château. En 1836, six personnes sont recensées et travaillent sur l’exploitation, Frédéric Malpel mène en parallèle sa vie toulousaine où il est devenu recteur d’Académie après la révolution de 1830.
Le seul enfant du couple Malpel-Viguier, Marie Marguerite, va épouser en 1818 à Toulouse, Jean Gasc, alors avocat et dont on verra qu’il eût par la suite une carrière brillante. Le domaine s’est sûrement agrandi, des terres ont été achetées aux alentours et en 1846, lors du recensement de la population, parmi les habitants du lieu de La Garrigue on note la présence de deux familles, celle d’André Cussat, jardinier, et celle de Pierre Chalanda, « maître valet de Monsieur Gasc » ce dernier devant gérer le domaine puisque Frédéric Malpel était déjà fort âgé et décède en fait le 15 février 1849 (4) dans sa maison « size à la Garrigue » âgé de 83 ans.
Les Gasc-Malpel
Le couple Jean Gasc – Marie Marguerite Malpel vient de temps à autre à La Garrigue mais réside à Toulouse. C’est là, en 1819 qu’est née leur fille unique Marie Antoinette Honorine, et c’est aussi à Toulouse qu’elle se marie en 1841 (5) avec Christian Yvan Jean Pierre Oldekop un négociant bordelais.
Jean Gasc est un avocat réputé ; en 1848, il défend, dans un procès retentissant Louis Bonafous (« le frère Léotade ») accusé de meurtre sur une jeune fille, Cécile Combettes, jeune apprentie chez un relieur toulousain. Ce crime passionne Toulouse et la France durant l’instruction et au cours du procès.(6) Jean Gasc est également adjoint au maire de Toulouse, député en 1849, conseiller général de Villemur et conseiller d’Etat. Un homme très influent.
Le domaine de La Garrigue n’est plus mentionné dans les archives de la ville jusqu’en 1860. A cette date, l’église paroissiale Saint-Michel est en construction. Les crédits manquent pour mettre en état l’intérieur de l’église. Le conseil de fabrique adresse une pétition réclamant des subsides, adressée à Sa Majesté l’Empereur, aux bons soins de messieurs Jean Gasc conseiller d’état et du marquis de Tauriac député. Après quelques refus et tergiversations, Jean Gasc intervient auprès du ministère des Cultes … qui octroye une subvention de 5 000 francs. Jean Gasc en avise le curé Robert qui communique au conseil de fabrique de Villemur le 7 juillet 1861. Grande joie on le devine, au sein du conseil :
« Le conseil a écouté cet exposé avec un grand intérêt et a voté par acclamation et à l’unanimité de sincères remerciements à Monsieur Gasc. Il a été délibéré de plus qu’il irait en cortège, à sa rentrée de Paris, lui faire une visite sur sa propriété de La Garrigue, pour le remercier de vive voix et lui donner ainsi un témoignage de sa reconnaissance. »
Jean Gasc décède le 5 juin 1875 à Toulouse en son domicile au 29 des allées Lafayette, âgé de 80 ans.(7) Son épouse s’éteint 6 ans plus tard le 23 juin 1881.
Les Gasc-Oldekop.
Les Oldekop appartiennent à une famille d’origine russe établie dans le service des armes. Si un Oldekop avait été agent consulaire de la Russie à Amsterdam en 1785, c’est à Bordeaux qu’une partie de la famille s’établit en 1779, et y fonda une maison de commerce. Le 19 janvier 1841, Chrétien Jean Pierre né le 15 août 1804 à Talence en Gironde, négociant à Bordeaux quai des Chartrons, collectionneur de tableaux, naturalisé français le 11 novembre 1831, épouse donc Marie Antoinette Honorine Gasc nous l’avons vu précédemment.
Henri Béraldi, (8) disait d’Honorine Gasc, qui a habité longtemps Paris, « qu’elle était fort belle et possédait un admirable talent de cantatrice : elle savait aussi bien émouvoir que plaire ». Parmi ses nombreux admirateurs, il faut mentionner Chateaubriand qui l’a rencontrée à Toulouse en 1838 et parle de « l’admirable Honorine », et même Lamartine qui dédie une « méditation poétique » à ” Mademoiselle Honorine Gasc “ en 1840.
Christian Oldekop et Honorine Gasc vont s’installer à La Garrigue dans les années 1850, après le décès de Frédéric Malpel. Il faut faire mention ici d’une tradition orale qui fit d’Honorine Gasc l’égérie de Napoléon III, thèse rapportée par l’historien local Marcel Peyre dans une notice sur Magnanac.
Deux éléments peuvent étayer cette thèse. Le fait d’une part que le père de Christian Oldekop, prénommé Gotlieb Théophile, ait servi Louis Bonaparte placé sur le trône de Hollande par son frère Napoléon. En 1852, Louis Napoléon, fils du roi de Hollande, devint empereur des français sous le nom de Napoléon III et Christian Oldekop fit partie de ses familiers.
Le fait ensuite, que de part et d’autre des fonds baptismaux de l’église de Magnanac, sont accrochés deux tableaux…. offerts par l’Empereur Napoléon III lui-même ! Les deux tableaux portent sur leur cadre, l’inscription « donné par l’empereur en 1859 »…id « en 1861 ». Mais ces dons de tableaux par Napoléon III l’Empereur ont été, semble t’il, assez fréquents à cette époque. Ces deux tableaux représentent la copie par Paul-Emile-Auguste VEYSSIE de « la Purification de la Vierge » du peintre bolonais Guido RENI, et la copie par Adèle CAPRON du tableau « L’Immaculée Conception » du peintre espagnol MURILLO dite « Vierge Soult »
Alors égérie ou pas ? Dans son livre sur les églises du canton de Villemur, Christian Teysseyre apporte bien des éléments de réponse. « A vrai dire nous n’avons pas relevé d’autre mention de cette qualité d’égérie ou de quelque passage éventuel de Napoléon III à Magnanac, que celle-ci (l’hypothèse de Marcel Peyre) sans source donnée ». Christian Teysseyre cite le livre de Hector Fleischmann « Napoléon III et les femmes » qui ne laisse rien entrevoir et ne mentionne pas Honorine Gasc.(9) Pas plus que Monsieur Philippe Savignac, contacté par Christian Teysseyre, apparenté à la famille Oldekop « ayant consulté les quelques correspondances échangées entre les différents membres de cette famille, je n’ai pas trouvé d’indices permettant d’accréditer la thèse évoquée ».Plus loin il rajoute « Honorine Gasc avait certainement une belle voix…certainement que Napoléon III avait eu l’occasion d’apprécier ses talents à Paris ou ailleurs, de là à penser qu’elle en fut par la suite l’égérie…On n’en trouve effectivement aucune preuve tangible. » (10)
Alors simple rumeur locale que la tradition orale a colporté au fil du temps ? C’est la version la plus plausible et nous y adhérons totalement.
Mais le malheur va rattraper Honorine Oldekop. En 1866, c’est Christian son mari qui disparaît. Le 24 août 1874 elle décède à son tour « en son château de La Garrigue à Magnanac » âgée de 55 ans.(11)
Elle aura eu le temps de voir leur fils unique Carl Maria Honoré Yvan (né le 9 décembre 1841) se marier en 1872 avec Jeanne Marie Wilelmina Bontemps-Dubarry . Admis par voie de concours au Conseil d’Etat en 1866, il occupe divers postes dans plusieurs ministères. En 1872, il entre dans la vie politique militante, en prenant part à la fondation à Toulouse, de L’Union Méridionale organe bonapartiste de la région. Il échouera par deux fois aux élections législatives de la Haute-Garonne en 1876 et 1889. Il est également membre de la Société de Géographie de cette ville . Il partagera ainsi sa résidence entre la ville rose et ses châteaux (château de Saint-Jean à Cazères-sur-Adour dans les Landes, et le château de La Garrigue à Magnanac).
Trois enfants naîtront de cette union : Napoléon Louis, né en 1875, puis Marguerite, et enfin Yvan Charles Marie, né le 23 février 1881 au château de La Garrigue. (12) Cet à cette période, sous réserve d’informations plus précises, que Carl Oldekop modifia et embellit le château, qui prit une allure plus élégante.
De cette époque daterait l’escalier monumental donnant sur l’entrée. En contrebas du parc, côté façade, il fit creuser un canal où naviguèrent en barque les enfants de la famille. En 1897 Carl Oldekop décède en son château de Saint-Jean à Cazères-sur-l’Adour.
La Garrigue au XXe siècle
Le 11 mars 1912 à Paris, Yvan Oldekop se marie avec Maris Levesque de Blives. Deux ans plus tard, en 1914, c’est la guerre contre l’Allemagne.
Yvan intègre le 144e régiment d’infanterie caserné à Bordeaux à compter du 2 octobre 1914. Nommé caporal, il se bat dans l’Aisne sur le Chemin des Dames jusqu’à la fin mars 1915 où il rejoint près de Vitry-le-François le cantonnement du 170e RI qui vient de subir de lourdes pertes dans la Marne. Le 30 avril 1915 le régiment prend position près des Eparges dans la Meuse. Le 5 mai 1915 un éclat d’obus va le faucher en pleine jeunesse à la tranchée de Calonne. (13) De son mariage avec Marie de Blives deux enfants naîtront : Marie-Lys née en 1913 et Simone en 1914. Marie-Lys va épouser le peintre suisse Maurice Auberjonois dont le nom n’est pas étranger aux plus anciens villemuriens, né en 1909, fil aîné de René Victor Auberjonois (1872-1957), lui aussi peintre célèbre. Ce dernier était très proche du grand compositeur et chef d’orchestre russe Igor Strawinski. Ainsi Maurice Auberjonois fut un ami d’enfance de Théodore Strawinski (1907-1989) lui aussi peintre, fils d’Igor. Théodore, né à Saint-Petersbourg, devient apatride après la Révolution russe, s’engage dans l’armée française en 1939. Mobilisé au Mans, il est rapidement libéré de ses obligations pour raison de santé
C’est à Villemur que nous retrouvons Théodore et son épouse Denise au début des années 1940. René Auberjonois propose à Théodore d’occuper une petite maison à Brucelles (Magnanac commune de Villemur-sur-Tarn en Haute-Garonne), près de son fils Maurice. Arrêté sous le régime de Vichy en 1941, sans véritable raison si ce n’est la consonance russe de son patronyme, Théodore est libéré après quelques mois d’internement au camp de Récébédou. De retour auprès de son épouse à Magnanac, il reprend alors immédiatement ses pinceaux. Pendant cette période villemurienne, Théodore réalisera plusieurs portraits dont ceux de Désiré Barbe le maire de Villemur de l’époque, de l’épouse du docteur Paul-Louis Bernard, de Madame Oldekop et sa fille Simone, ainsi que de la famille de Naurois. Vers la mi-1942 le couple Strawinski quitte la France pour rejoindre Genève et la Suisse, patrie de Denise.(14)
Il semble que Maurice Auberjonois et sa femme Marie-Lys aient résidé au château de La Garrigue épisodiquement pendant les années qui suivirent la guerre.
Dans cette période trouble des années 40, au moment de la libération, le château de La Garrigue était occupé par un membre important de la milice locale, un certain Granier, dont le supérieur hiérarchique, avec lequel il était en liaison permanente, n’était autre qu’Henry Frossard chef de la Milice départementale de la Haute-Garonne. Ce dernier, habitant un château près de Cazères, fut arrêté, jugé, et fusillé le 14 mai 1945 pour complicité dans l’assassinat du journaliste Maurice Sarraut. Le peloton d’exécution était commandé par Monsieur Pierre Bénech, grande figure de la résistance toulousaine, qui a bien voulu nous livrer ces renseignements. Granier quand à lui fut arrêté par un groupe de résistants locaux, interné au camp de Noé pour actes de collaboration, puis relâché. Par la suite et pendant quelque temps, le château de La Garrigue fut gardé par les villemuriens pour éviter le pillage.(15)
Dès son retour aux affaires, M. Granier, exploita de nouveau les terres de la propriété. C’était un homme avec beaucoup de prestance dit-on, de mémoire de villemuriens, qui gérait également un casino à Nice, mais après divers démêlés avec la justice, le château et la ferme furent saisis.
Après la guerre d’Algérie, en 1962, le château fut cédé à la famille Aït Ali, rapatriée en France pour avoir soutenu le Gouvernement Français pendant la guerre en Algérie. (Le chef de famille était Bachaga c’est-à-dire haut-dignitaire en Kabylie)
Les terres de la ferme près du château furent exploitées en cultures céréalières et pour un temps en vignes, comme le domaine voisin de La Palme.
Le domaine comprenant le château et la ferme – propriété indivisible – sont en mauvais état lorsque M. Roger et Juliette Gos en font l’acquisition en 1973.
La restauration du château commence par la réhabilitation de la toiture, et ensuite la rénovation intérieure par les entreprises locales : Borja pour l’électricité, Chédé pour la peinture et Rossi pour le chauffage. Une piscine est aussi construite dans le parc. Les parents de Mme Juliette Gos viennent pour participer aux travaux d’emménagement du parc de 6,5 hectares qui avait été laissé à l’abandon. Pour défricher une partie du terrain ils élèveront des moutons abrités dans la bergerie attenante au château. En 2012, après le décès de Roger Gos, et 39 ans passés sur la propriété, son épouse quitte La Garrigue et se retire auprès de ses enfants à Albi.
La renaissance du château
Le château de La Garrigue va bénéficier d’un formidable coup d’accélérateur lorsque en 2013 il est racheté par l’industriel Zeid Hassim.
Arrivé de Madagascar en 1977, il a gravi à grands pas les échelons de la réussite sociale, gérant aujourd’hui un patrimoine immobilier conséquent à Toulouse et ses environs . « Je suis sans doute un peu fou. Je me ruine mais maintenant que c’est lancé je vais au bout !»,dit-il. Hébergement de grande qualité, restaurant, grande salle d’une capacité de 700 personnes, piscine, lac, parc désormais de 12 ha complètent désormais ce superbe ensemble dans lequel Zeid Hassim a injecté quelques millions d’euros. (16)
Mais il avait fallu aussi à d’autres époques, quelques grains de folie aux Malpel, Gasc, Oldekop, Gos, pour pierre après pierre, transformer une modeste ferme en château du XIXe siècle. Dernier maillon de la chaîne, Zeid Hassim en tout cas, est entrain de bâtir un pur joyau, un hôtel de luxe qui n’a pas d’équivalent dans la région.
C’est déjà une magnifique réussite, mais prenons le pari que d’autres pages viendront s’ajouter à l’histoire du château de La Garrigue.
Sources :
(1)(2)(4)(11)(12) Archives communales de Villemur-sur-Tarn, registres paroissiaux et état-civil.
(3) Archives Départementales de la Haute-Garonne 3P 5190 cadastre de Villemur section X de Magnanac
(5)(7) Archives municipales de Toulouse
(6) Toulouse, pages d’histoire www.jacobins.mairie-toulouse.fr
(8) Henri Béraldi, (1849-1931) collectionneur d’estampes, bibliophile, écrivain d’art et éditeur français.
(9) Christian Teysseyre,« Le canton de Villemur-sur-Tarn »,Editions Empreinte, 2011.
(10) Philippe SAVIGNAC www.geneanet.org
(13) http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/
(14) http://www.theodorestrawinsky.ch/ et Christian Teysseyre Nouvelle Histoire de Villemur Tome 1, 752.
(15) Remerciements à Monsieur Pierre Bénech pour son témoignage recueilli par Gaston Sengès.
(16) Emmanuel Haillot (DDM) https://www.ladepeche.fr/article/2015/02/01/2041097-le-chateau-du-xixe-siecle-devient-hotel-de-luxe
→ ♥ Visitez le site actuel du Château de La Garrigue : http://chateaudelagarrigue.com/
Publication de l’AVH 5/2012, avec la collaboration des membres des Amis du Villemur Historique.
Jean-Claude FRANCOIS, Pilar JIMENEZ, Georges LABOUYSSE, Jean-Luc MOUYSSAC, Marie-Martine PONCELET, Gaston SENGÈS.
Mise à jour 6/2021 JCF/AVH